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 Herbert Léonard: «Je chante pour le plaisir!»

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Herbert Léonard: «Je chante pour le plaisir!» Empty
MessageSujet: Herbert Léonard: «Je chante pour le plaisir!»   Herbert Léonard: «Je chante pour le plaisir!» Icon_minitimeJeu 18 Nov - 10:04

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Samedi, il débarque à Genève avec la tournée «Age Tendre». Malgré sa carrière en dents de scie, tout le monde connaît ses tubes

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Sa vie est un véritable manuel à l’usage des apprentis chanteurs. Succès populaires fulgurants, accidents de parcours et de voiture, changement de cap professionnels, Herbert Léonard, 65 ans, a tout connu. Samedi, il vient à l’Arena de Genève dans la caravane d’«Age Tendre». Le succès est toujours au rendez-vous: «Pour le plaisir», «Puissance et gloire: «Chateauvallon» et «Amoureux fous».
Lorsqu’on enregistre une chanson, on sait que ce sera un tube?
On ne fait pas un tube. Une chanson devient un tube… ou pas. Avec «Pour le plaisir» ( ndlr: disque d’or, 2,5 millions de copies) après une seule écoute la mélodie ne vous quitte plus. J’ai eu de la chance, j’ai connu une quinzaine de succès. Pour ça, il faut des mélodistes et des auteurs: Julien Lepers et Vline Buggy en l’occurrence.
Julien Lepers plus connu pour «Questions pour un champion».
Dans les années 1970, c’était l’animateur vedette du hit-parade sur RMC. Un jour, il en a eu marre. Son père était chef d’orchestre, lui pianiste autodidacte. Il a écrit pour Claude François, Sheila, Michel Delpech. Il avait un wagon de chansons dont personne ne voulait. Un jour, il a téléphoné à Vline qui est un auteur femme très connu. Elle a tout suite pigé lorsqu’il a joué la mélodie de «Pour le plaisir» qui était en gestation. Ça a fait tilt.
Vous avez un registre vocal particulier. Comment vous étiqueter?
Les Anglo-Saxons ont un terme qui regroupe tout: pop. On peut m’étiqueter crooner, charmeur. Je me suis autoproclamé chanteur de variétés et j’ajoute: populaire.
A 15 ans, jeune guitariste au sein des Jets puis des Lionceaux, qui étaient vos idoles?
Nous ne parlions pas l’anglais, on écoutait Johnny, Les Chaussettes Noires, Les Chats Sauvages et Les Pirates. Mon premier disque acheté, c’était Ray Charles. J’aimais les voix des Noirs, le rhythm’n’blues.
Vous avez été tenté par ce style. Pourquoi l’avoir abandonné?
En 1990, j’ai voulu revenir à mes premières amours en chantant du rhythm’n’blues. Eric Mouquet, cofondateur de Deep Forest, avait une centaine de titres dans ce registre. L’album a essuyé un échec cuisant. Le public ne voulait pas de moi sous cette forme-là. On me connaît pour ma voix, pas pour un style particulier. J’ai pu changer à l’occasion de «Notre-Dame de Paris» dans le rôle Frolo interprété alors par Daniel Lavoie.

Comment avez-vous délaissé la guitare pour le chant?
Au sein des Lionceaux, nous chantions du Beatles en français. Je faisais les chœurs, sans ambition, si ce n’est celle de chanter juste. Un jour, le batteur qui était lead singer en a eu marre. Il nous a proposé d’interpréter 3 titres chacun. J’ai choisi Sam and Dave et Otis Redding. Le directeur artistique Lee Halliday était dans la salle. Il m’a repéré et j’ai enregistré mon premier album.
Lee Halliday, un nom familier…
C’est le père de cœur de Johnny. Il l’a élevé avec Desta, la cousine. Lee et Desta avaient un numéro de danse sous le nom Les Halliday. En faisant carrière, Johnny ( ndlr: né Jean-Philippe Smet ) s’est appelé Hallyday ( ndlr: avec un i, le y de Johnny Hallyday viendra plus tard à cause d’une erreur à l’imprimerie ).
Comment étiez-vous à vos débuts?
Lors des séances photos pour Salut les Copains, la consécration à l’époque, j’étais incapable de sourire. On me surnommait «le Buster Keaton de la chanson», j’ai oublié de mettre ça dans mon livre! ( ndlr: «Pour le plaisir… et pour le reste»).
Aujourd’hui, vous faites partie de la tournée «Age Tendre». Pour l’argent ou pour le plaisir?
Avant tout pour l’ambiance, je n’ai pas vécu ça depuis très longtemps. Ensuite il y a le public, 10 000 personnes à chaque fois. Evidemment il y a un intérêt pécuniaire, c’est assez bien payé, mais l’argent n’est pas ma motivation première. Je fais 50 galas sous mon nom tout au long de l’année.
Votre carrière a été stoppée par un drame de la route.
C’était en 1970. J’avais sorti trois tubes de suite dans le sillage de Johnny Hallyday et ça ne plaisait pas à la maison de disques. L’accident de voiture les a bien arrangés. Il fallait que je disparaisse de l’horizon… Après, j’ai fait un album avec Gérard Manset: un fiasco total.
Michelle Torr a été solidaire. C’est assez rare.
Elle partait en tournée, elle avait déjà un guitariste, mais elle m’a engagé, en plus. C’est très rare. Sylvie Vartan a fait la même chose au Japon et j’ai pu chanter en première partie.
Après votre convalescence, vous vous êtes reconverti: journaliste spécialisé dans l’aviation.
Oui et je ne parlais que d’une certaine catégorie d’appareils: les avions russes de la 1re moitié du XXe siècle. Je faisais des plans pour un magazine. Je suis dessinateur industriel au départ. En plein succès avec «Pour le plaisir» lorsque je racontais ça, on me prenait pour un Martien ( rires). Ça a duré dix ans. J’ai écrit des articles et des livres.
Que pensez-vous des chanteurs français actuels?
Aucun ne me parle, à part De Palmas et Christophe Mahé. Je partage l’avis d’Eddy Mitchell: «Ça fait Rive gauche». Bénabar et les autres, ça n’est pas simple à retenir et à chanter. ^
Arena Genève, samedi 20 novembre, à 14 h 30 et à 20 h 15, «Age Tendre - La tournée des Idoles». Présentation Denise Fabre. Avec Herbert Léonard, Sheila, Hervé Vilard, Michelle Torr

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